Pour les élections européennes de juin 2009, le Parti Humaniste présente une liste qui regroupe des membres d'associations et des individus qui veulent « une Europe sans arme nucléaire » et convaincus de « l'urgence de la Paix et de la Non Violence ». La liste « La Force de la Non-Violence » se présente dans cinq régions : en Ile- de- France, dans la région Sud-Est, la région Centre, de l'Est et le Sud-Ouest.
Quels sont les principes et les valeurs fondamentales de ce parti ? Quelles sont les motivations ? Quels sont les objectifs de sa participation aux prochaines échéances électorales ? Quel type d'Europe cette formation politique envisage-t-elle d'édifier ?
Telles sont quelques-unes des questions auxquelles a bien voulu répondre Alain Ducq, Porte-parole de la Marche Mondiale pour la Paix et la Non-Violence et tête de liste de la région Ile-de-France.
Le parti Humaniste a été crée en 1984 en France. Sur la base de quels constats ? Dans quel contexte ? Dans quels buts ?
Alain Ducq : Le Parti Humaniste est né à l'initiative de certains membres de la Communauté pour le développement humain. Nous avons vu que les actions sociales que nous réalisions restaient de portée limitée. Même si l'on mobilise des milliers de gens dans la rue, cela peut être ignoré par le pouvoir politique. Aussi nous avons vu nécessaire d'agir dans le champ politique et traduire nos actions sociales en des lois qui protègent les citoyens et puissent faire avancer la société entière. Pour cela il est nécessaire d'avoir des élus.
Quels sont les principes fondamentaux qui structurent la vision politique de l'idéologie humaniste ?
Alain Ducq : Le parti humaniste rejette toute forme de violence et de discrimination. Nous affirmons que tout être humain par le simple fait de naître doit avoir les mêmes droits et les mêmes chances que tous les autres. Cela implique une distribution égale de la richesse, la santé et l'éducation gratuites pour tous, la technologie mise au service de l'ensemble de la société, la participation des travailleurs à la gestion et aux décisions au sein de leur entreprise. Nous voulons une démocratie réelle et non pas une démocratie formelle. Pour produire ces changements, le parti humaniste choisit la méthodologie de la non-violence.
Votre formation politique cherche à développer et à diffuser "Le nouvel Humanisme" ? Que recouvre ce courant de pensée ?
Alain Ducq : Le nouvel humanisme est aussi appelé « humanisme universaliste » car il reconnaît des moments « humanistes » dans toutes les cultures. Ce sont des moments dans lesquels l'être humain est placé comme valeur centrale. Dans chaque culture il y a des périodes dans lesquelles la liberté d'idées et de croyances prend un essor important ce qui incite à la recherche et à la créativité dans les sciences, l'art et les autres formes d'expression sociale. Les cultures peuvent aujourd'hui converger sur la base de leur humanisme en apportant le meilleur d'elle-même dans la construction d'une nation humaine universelle. Cela est opposé à l'idéologie libérale actuelle qui privilégie la compétition et oppose les gens les uns aux autres et les entreprises, les nations et les cultures les unes aux autres.
Quels sont les principes et les valeurs fondamentales de ce parti ? Quelles sont les motivations ? Quels sont les objectifs de sa participation aux prochaines échéances électorales ? Quel type d'Europe cette formation politique envisage-t-elle d'édifier ?
Telles sont quelques-unes des questions auxquelles a bien voulu répondre Alain Ducq, Porte-parole de la Marche Mondiale pour la Paix et la Non-Violence et tête de liste de la région Ile-de-France.
Le parti Humaniste a été crée en 1984 en France. Sur la base de quels constats ? Dans quel contexte ? Dans quels buts ?
Alain Ducq : Le Parti Humaniste est né à l'initiative de certains membres de la Communauté pour le développement humain. Nous avons vu que les actions sociales que nous réalisions restaient de portée limitée. Même si l'on mobilise des milliers de gens dans la rue, cela peut être ignoré par le pouvoir politique. Aussi nous avons vu nécessaire d'agir dans le champ politique et traduire nos actions sociales en des lois qui protègent les citoyens et puissent faire avancer la société entière. Pour cela il est nécessaire d'avoir des élus.
Quels sont les principes fondamentaux qui structurent la vision politique de l'idéologie humaniste ?
Alain Ducq : Le parti humaniste rejette toute forme de violence et de discrimination. Nous affirmons que tout être humain par le simple fait de naître doit avoir les mêmes droits et les mêmes chances que tous les autres. Cela implique une distribution égale de la richesse, la santé et l'éducation gratuites pour tous, la technologie mise au service de l'ensemble de la société, la participation des travailleurs à la gestion et aux décisions au sein de leur entreprise. Nous voulons une démocratie réelle et non pas une démocratie formelle. Pour produire ces changements, le parti humaniste choisit la méthodologie de la non-violence.
Votre formation politique cherche à développer et à diffuser "Le nouvel Humanisme" ? Que recouvre ce courant de pensée ?
Alain Ducq : Le nouvel humanisme est aussi appelé « humanisme universaliste » car il reconnaît des moments « humanistes » dans toutes les cultures. Ce sont des moments dans lesquels l'être humain est placé comme valeur centrale. Dans chaque culture il y a des périodes dans lesquelles la liberté d'idées et de croyances prend un essor important ce qui incite à la recherche et à la créativité dans les sciences, l'art et les autres formes d'expression sociale. Les cultures peuvent aujourd'hui converger sur la base de leur humanisme en apportant le meilleur d'elle-même dans la construction d'une nation humaine universelle. Cela est opposé à l'idéologie libérale actuelle qui privilégie la compétition et oppose les gens les uns aux autres et les entreprises, les nations et les cultures les unes aux autres.
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